Nous quittons le bateau vers 7 heures 30, arrivés à Siniscola nou
s attendons un moment Alexandra en vain, mauvais départ nous avions rendez vous devant la "Lavanderia" mais il y a plusieurs lavanderia !
Nuoro, nous rejoignons Italo, l'historien, et allons jusqu'à Oliena pour retrouver Tonio, ami d'Italo, spécialiste du "parco nazionale del Orosei". Nous partons à deux voitures et sommes assez vite sur des chemins de montagne étroits, sinueux et pou
ssiéreux.
Le temps est magnifique, le cielo azurro et la température déjà élevée. Nous laissons les voitures et commençons réellement la randonnée sur des chemins de pierres.
Italo et Tonio parlent en sarde, Alexandra en italien ou en français Patrice, Elisabeth en français et moi, j'
ai déjà du mal à parler !
Et ce n'est qu'un début, assez vite le chemin devient moins large, et bientôt plus de chemin seulement des pierres à escalader dans un environnement d'une beauté à couper le souffle, la vue est magnifique, les arbres anciens et d'espèces rares. Je suis la première à r
éclamer une pause, j'avais préparé ma phrase : "Sono stanca" ça fonctionne, nous nous arrêtons un moment et admirons le paysage : la grotte du brigand qui rendait lui même la justice et puis nos guides nous montrent l'endroit où nous devons aller et là c'est le choc, il s'agit ni plus ni moins que du sommet de ce rocher qui semble complètement inaccessible.
Nous nous remettons en marche, la chaleur est de plus en plus importante, nous parlons de moins en moins et nous montons par des passages insoupçonnés.
Pour une cachette, c'est une bonne cachette. plus de deux heures de marche et d'escalade intensive. Elisabeth qui fait de la randonnée en France, qualifie ce parcours de "difficulté extrême".
Enfin, nous arrivons à la grotte de Tiscali qui était le refuge, le lieu d'habitation des hommes en 12 000 avant J.C.
Il y avait environs une soixantaine de maison, mais beaucoup de questions subsistent.
s attendons un moment Alexandra en vain, mauvais départ nous avions rendez vous devant la "Lavanderia" mais il y a plusieurs lavanderia !Nuoro, nous rejoignons Italo, l'historien, et allons jusqu'à Oliena pour retrouver Tonio, ami d'Italo, spécialiste du "parco nazionale del Orosei". Nous partons à deux voitures et sommes assez vite sur des chemins de montagne étroits, sinueux et pou
ssiéreux.Le temps est magnifique, le cielo azurro et la température déjà élevée. Nous laissons les voitures et commençons réellement la randonnée sur des chemins de pierres.
Italo et Tonio parlent en sarde, Alexandra en italien ou en français Patrice, Elisabeth en français et moi, j'
ai déjà du mal à parler !Et ce n'est qu'un début, assez vite le chemin devient moins large, et bientôt plus de chemin seulement des pierres à escalader dans un environnement d'une beauté à couper le souffle, la vue est magnifique, les arbres anciens et d'espèces rares. Je suis la première à r
éclamer une pause, j'avais préparé ma phrase : "Sono stanca" ça fonctionne, nous nous arrêtons un moment et admirons le paysage : la grotte du brigand qui rendait lui même la justice et puis nos guides nous montrent l'endroit où nous devons aller et là c'est le choc, il s'agit ni plus ni moins que du sommet de ce rocher qui semble complètement inaccessible.Nous nous remettons en marche, la chaleur est de plus en plus importante, nous parlons de moins en moins et nous montons par des passages insoupçonnés.
Pour une cachette, c'est une bonne cachette. plus de deux heures de marche et d'escalade intensive. Elisabeth qui fait de la randonnée en France, qualifie ce parcours de "difficulté extrême".
Enfin, nous arrivons à la grotte de Tiscali qui était le refuge, le lieu d'habitation des hommes en 12 000 avant J.C.
Il y avait environs une soixantaine de maison, mais beaucoup de questions subsistent.
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